Ils viennent sans prévenir, au détour d’une rue, d’une salle de spectacle, d’un cinéma ou d’une page web. Ils sont rares, sporadiques mais ils sont tous là,
Ce sont nos sources d’inspiration,
et nos recommandations pour vos soirées ciné
et nos recommandations pour vos soirées ciné
THE HOLDOVERS
(Winter Break)
(2023) – Alexander Payne
On tient notre favori pour les Oscars 2024! Un voyage dans le temps et l’espace qui mériterait bien plus qu’un Coup de Coeur!
LE CHANT DU LOUP
(2019) – Antonin Baudry
Voilà un genre d’histoires rare dans le cinéma Français. Et trop souvent malheureusement, Hollywood sert de modèle mal copié.
Au contraire, « Le Chant du Loup » reste juste, efficace, sincère et néanmoins audacieux. Voilà qui ouvre des horizons!
MY BEAUTIFUL BOY
(2018) – Felix van Groeningen
Une claque… Inutile d’ajouter le moindre commentaire.
Un autre film avec Timothée Chalamet et Steve Carell où les deux acteurs comme le reste du cast sont simplement parfaits!
EL ÁNGEL
(L’Ange)
(2018) – Luis Ortega
Aude aux bad boys et apologie du crime? Ou brillante démonstration de l’attractivité du mal?
El ángel commence comme un film qu’on regrette d’être venu voir et fini comme un film qu’on aurai aimé réaliser!
READY PLAYER ONE
(2018) – Steven Spielberg
Au moment où diVita développe le projet-test en réalité virtuelle (prise de vue réelle 3D-360) « Immersion« , le film de Steven Spielberg vient naturellement marquer le début d’une nouvelle ère dans la narration cinématographique.
DANS LA BRUME
(2018) – Daniel Roby
Et si avant SEULE, il y avait « Dans La Brume »?
Ok, c’est un brin prétentieux, mais cette brume vient souffler un vent de renouveau bien frais sur la production française. Toutes celles et ceux qui aiment raconter des histoires autrement se sentent pousser des ailes.
AMERICAN HONEY
(2016) – Andrea Arnold
Au delà du style, du montage, de la photo, ce coup de coeur de Sylvain Razemon est tout à fait personnel. Roadtrip dans sa propre Amérique, fidèle à celle qu’il a connu étudiant au début des années 2000, avec ces personnages sculptés au bistouri. Un morceau de jeunesse sorti intact de sa boîte à souvenirs.
CALL ME BY YOUR NAME
(2017) – Luca Guadagnino
Oubliez que cette histoire raconte l’amour entre deux hommes et retenez uniquement que c’est une histoire d’Amour, sobre, belle, universelle. « Call me by your name » est simplement une leçon d’anatomie du sentiment amoureux, peu importe qui sont les amants. Trente ans après Cinema Paradiso, voici enfin un autre film qui donne envie de (re)tomber amoureux!
UN HOMME IDEAL
(2015) – Yann Gozlan
On aurait aussi pu choisir Pierre Niney dans tous ses rôles comme coup de coeur mais s’eut été injuste pour le scénario, la mise en scène et l’image de ce thriller comme on en fait trop peu en France.
WHIPLASH
(2014) – Damien Chazelle
Si vous n’avez pas vu Whiplash, vous passez à coté d’un incroyable orgasme audiovisuel!
A voir en salle absolument. Et si vous ne pouvez pas, invitez vos amis, coupez lumières et téléphones, barricadez les portes et… profitez!
THE GRAND BUDAPEST HOTEL
(2014) – Wes Anderson
Décidement, l’univers créatif de Wes Anderson est un voyage en soi. Chaque plan est un tableau.
DANIEL AUTEUIL
dans La mer à boire de Jacques Maillot
…Ou dans Le Huitième Jour …Ou dans 36 quai des Orfèvres, ou dans… En fait on aime voir un acteur célèbre et mille fois reconnaissable disparaître derrière son personnage.
LES ROBOTS
Humanoides ou non
Certains en ont peur, nous, nous sommes passionnés par tout ce que les machines peuvent faire à notre place pour nous redonner du temps à d’autres choses. Que serions-mous sans lave-vaisselle, sans programmateur d’arrosage et sans les petits derniers, les robots qui font le ménage?
Le film « Robot & Frank » de Erik Beck
LA CAGE DOREE
(2013) – Ruben Alves
Hommage aux aïeux de Sylvain Razemon. C’est sans doute le petit fils d’expatriée Italienne qui s’est reconnu dans ces personnages…
MOONRISE KINGDOM
(2012) – Wes Anderson
Ligne 11 du CV de Sylvain Razemon: « Scout Unitaire de France – Encadrement d’adolescents« … La magie de Wes Anderson en plus !
THE PERKS OF BEING A WALLFLOWER
(Le Monde de Charlie)
(2012) – Stephen Chbosky
Il y a des personnages qui vous marquent et vous accompagnent longtemps. C’est le cas de Charlie comme ce fut le cas de Billy Elliot…
LITTLE MISS SUNSHINE
(2006) – Jonathan Dayton et Valerie Faris
L’ineffable plaisir de rire à gorge déployée, à l’unisson avec le reste de la salle. Une ode à la vie, à joie, à la dérision (et à l’autodérision) à voir à tout moment.
NOS JOURS HEUREUX
(2006) – Olivier Nakache et Éric Toledano
Dans les histoires bien racontées, chacun y trouve facilement ce qu’il a envie d’y trouver. Avec « Nos jours heureux » on atteint le stade supérieur : c’est comme si tous les spectateurs dans la salle avaient fait partie de la même colo!
BILLY ELLIOT
(2000) – Stephen Daldry
On est tous un peu Billy Elliot…
Non pas qu’on veuille tous danser, mais on a tous un rêve et souvent ce n’est pas celui que les autres ont pour nous.
FARGO
(1996) – Joel and Ethan Coen
On a choisi « Fargo » parce qu’il fallait bien commencer quelque part, mais le coup de coeur ici ce sont tous les scenarii des frères Coen!
Une leçon d’écriture à chaque ligne de chaque script.
LE HUSSARD SUR LE TOIT
(1995) – Jean-Paul Rappeneau
Le troisième pouvoir du Cinéma.
En plus d’être une fabrique à émotions et une source d’Aventure,
c’est une machine à remonter le temps
FERRIS BUELLER’S DAY OFF
(La folle journée de Ferris Bueller)
(1986) – John Hughes
On monte la Ferrari sur des parpaings, on la bloque en marche arrière et le compteur repartira à rebours…
Ceux qui ont vu le film ont compris le message : There’s no way back! Toujours aller de l’avant, toujours y aller à fond.
INDIANA JONES AND THE LAST CRUSADE
(1989) – Steven Spielberg
Quand on commence l’adolescence, on découvre que le cinéma est un formidable moyen de vivre d’incroyables Aventures.
Et donc l’ultime moyen de raconter des histoires à ses camarades !
CITIZENKANE
(1941) – Orson Welles
L’autre film fondateur !
Il y a les films qui vous font aimer le cinéma, et ceux qui vous font aimer la réalisation.
Au passage, avez vous remarqué que l’un des plus beaux chef-d’oeuvre du cinéma repose sur une aberration scénaristique?
Revoyez-le, et dites-nous comment tout le récit peut tenir alors que personne n’est présent lorsque Kane prononce… « Rosebud ».
E.T. THE EXTRA-TERRESTRIAL
(1982) – Steven Spielberg
L’autre film fondateur.
Sylvain Razemon n’a que 4 ans lorsqu’il va pour la première fois de sa vie voir un film dans une salle de cinéma.
Ce n’est ni un dessin animé, ni un Walt Disney, c’est un Spielberg.
Lorsqu’à la fin du générique il se tourne vers sa grande soeur, c’est pour lui demander : « Pourquoi tu pleures ? »
Quatre ans c’est peut-être un peu jeune pour comprendre E.T. mais c’est bien assez grand pour découvrir que les films ont un pouvoir magique incroyable : fabriquer des émotions assez fortes pour faire pleurer sa grande soeur.
UN VIEUX BULLETIN SCOLAIRE
(1984) – Sylvain Razemon
Deux ans après avoir vu E.T. au cinéma,
Sylvain Razemon semble avoir bien retenu la leçon!